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Mardi (13/05/08)
Tu vois, loin

même pas mort

J'vais me racheter un clavier et revenir ici


Écrit par Novembre, à 01:47 - Chroniques.
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Mardi (18/07/06)
Petit Esprit Sain

Démarré, déroulé, dévoué, dévalé, dévoilé, dédié, décidé, dépensé, délayé, décollé, délecté, délié, développé -

découvert, dételé, détonné, décontenancé, désemparé,

décadré, déraillé, décrû;

déshabillé, décrit, dessiné, dérogé;

détrempé, détrompé, détrôné; désappointé, désajusté,

dégrossi, dégraissé, délavé;

deféré, défferé, déshéré, désobligé, désoeuvré;

débiné, déserté, décompté, déshérité;

dépeint, désséché, déplié, déprimé, déplu :

déminé, désabusé;

dérivé, démoulé, décalqué, dévié, détourné, décroché, détalé, défilé, 
déconfié, dévalué, désavoué,
désabonné, déprecié, décimé, dépecé, dératisé,

déboulonné, défiscalisé, désaltéré, démangé, décalé,

délimité, débilisé, déraisonné, désarçonné :

démarqué, dédaigné, désigné, détaxé, délaissé, débouté, démonétisé, déshumanisé,

dépité, dégoûté, désinscrit, déluré, délabré,

déformé, désaxé, dessillé, desserré,

 déçu, désisté,

désarticulé, désillusionné, désavantagé, désagrégé, déshonoré,

déshydraté, déshabitué, désenflé, désarmé,

        (démasqué, défié, désintéressé, délassé, décolleté, déhanché, désiré, détendu, délacé, dévêtu, dégrafé, débité, déboulé, déridé, défloré, désherbé, déboité, dégorgé, débouché, détaché, déniaisé),

désaccordé, désaccouplé, déménagé, démontré,

démobilisé, débrayé, démocratisé, dénationalisé, dénaturé,

démêlé, démenti, demeuré, démoli, dénié,

dénaturé, démembré, démuni, dénatté, démythifié, démuselé, démystifié,

démonté, défoncé, dévoyé, détaillé, déraciné, décrié, déploré, déblatéré, dédouané, 

déliré, déparé, décelé, déduit,
délivré, démenti, démâté,

défripé, défriché, défroqué, défrayé,

 dégusté, démanché, détroussé, débattu, délibéré,

descendu, défini, desservi, dégriffé, démordu, défendu,

dépendu, dérangé,

délogé, déporté,

déposé, démis,

défait, dédit, détruit, désolé
 bon sinon je m'emmerde


Écrit par Novembre, à 06:39 - Chroniques.
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Mercredi (12/07/06)
Moi, j'aime l'essence (donne-moi plus d'essence)

J'ai arrêté la cigarette, presque donc je me tire d'ici parce que ça pue la mort et abusé, impossible même de supposer si je suis plus ou alors moins louche aujourd'hui qu'il y a un an. Parce que l'administration m'ennuie sévère en ce moment aussi.

Paraît que c'est subtil de me contacter en me demandant l'adresse du nouveau blog avec le lien en dessous du logo paint là, écrire truc donc si ça t'intéresse tu laisses ton e-mail sinon la subtilité en effet ne prend pas.

A bientôt, j'avais quand même un pseudo bien pourri.


Écrit par Novembre, à 16:06 - Chroniques.
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Mercredi (29/06/05)
Queen of all I've seen

J'ai trouvé beaucoup, des choses que je cherchais depuis longtemps. Pas seulement un sujet d'histoire au Bac avec Lizarazu et Sylvie Vartan sur la même copie, non pas seulement, mais aussi des lauriers en daube pour couronner mon dossier scolaire a priori aussi crédible qu'un accordéon qui vote à droite.

A la réunion préparatoire, pour te préparer aux deux années de préparation aux concours qui, si tu les réussis, te permettent de préparer ta future vie professionnelle de rapace, je me suis bien rendu compte qu'il fallait encore réapprendre à sourire. Pas chié avec des bagues pendant trois ans pour un blockhaus buccal. Surtout après qu'ils eussent (la classe) expliqué que seuls 5% des candidats issus des classes (prépa) intégraient par la suite l'ENS ou l'IEP, en fait ça m'a paru un peu beaucoup. Mais bon, avec deux tiers de gonzesses, fallait pas encore se risquer. Des abusées, peut-être, aux cours privés ou que sais-je encore, peut-être, pas autant que moi sur un planeur OCB.

Je n'ai pas beaucoup parlé d'elle ici, ni même nulle part, alors pardon pour l'audace. C'est un peu grâce à elle, tout ça. Jamais pensé que ce qui me ferait me lever le matin aurait de si beaux yeux bleus. Alors entre Eros et los porros, si on te demande, j'aurais vécu quatre mois à la douzaine, connu plus de gens qu'à la grande école, changé plus qu'en un été. Qui r'vient.



Écrit par Novembre, à 16:46 - Chroniques.
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Dimanche (27/02/05)
T'as pas les couilles

Salut, pardon pour la grossièreté,

Si on te demande, tu pourras dire que j'ai passé du bon temps. Je ne l'ai pas vue passer, cette semaine, c'est tout dire. Je me suis un peu effacé tout en cultivant le goût pour la métaphore, et j'ai travaillé ma voix plus qu'autre chose, à mon bureau.
Bien sûr, je n'ai pas pris le temps pour le pratique. J'ai passé quelques coups de téléphone, si ça peut t'intéresser. Mais sinon j'ai passé mes soirées en intérieur.


Il a neigé, c'était à noter. Il aurait fallu construire ou créer à partir de ça. Je suis peut-être devenu trop mou à force de vouloir m'assagir. Si je n'ai pas laissé le temps, il a filé à travers mes postures de paon et mes impostures impies. J'essaie de dormir, et souvent j'y arrive. Je ne m'épanouis pas dans cet état. Disons que je profite, si tu veux tout savoir. Je profite de ce temps, mais je prends des risques. C'est ma pensée que j'hypothèque. Mais je ne pense pas toujours à ça. En fait, j'ai toujours peur de m'exprimer à ce rapport. Je laisse aller. Ce n'est pas que je me consacre à la multitude des points de vue sur moi. Mais j'ai un égocentrisme sympatoche.


Bien sûr, il est en train de devenir une norme de prendre un avantage économique sur toute humanité. De la culture à l'éducation, passant ainsi par l'art, l'histoire, le travail, la technique, et tout le programme de philo qui subsiste en Terminale jusqu'à la politique bientôt fictionnée et donc fictionnable, le revenu financier n'est pourtant pas toujours profit ni toujours bénéfice.
On parle de "pornographie mémorielle". Mais une démocratie couchée, celle dans laquelle nous vivons tout du moins, demeure à-même de continuer à privilégier via la désormais sacralisée communication ce qui fait à la fois son opinion, forme son inconscient collectif et à plus une large mesure son histoire, sa culture dite "générale" ; celle qui sera à plusieurs reprises testée, examinée, vérifiée, tout du moins mise à l'épreuve. Dans cette conséquence, la presse est un pouvoir républicain, dans cette épaisse nuance de viabilité et d'essentielle -bien qu'ironique- visibilité qui remet en question les organisations mêmes du législatif et de l'éxécutif.
A ce jour, les arts et techniques du cinéma, de la musique, de l'expression scénique et corporelle, de la publicité, de l'information, de la littérature, du graphisme et de la représentation, demeurent fragilisés au sein de l'économie française.

J'ai pas trop trop la santé, je ne me dépense pas assez. Je mange beaucoup, je fume bien trop, je bois à souhait et pouffe à peine. Je ne suis pas encore déclaré malsain, je m'insignifie sans qu'on m'assigne, je chante, je me surprends, je me dessine la gueule, je prends des joues, je souris jamais au bon moment et, donc, par extension, pas à l'aise sur les photos, mais, je chante.



Voilà, on compense.


Écrit par Novembre, à 00:30 - Chroniques.
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Jeudi (24/02/05)
Aux chiens

On ne dit pas DÉLIVRER mais DÉLIRE.
Mais pas de légende en vie.

                                                      Taillot-Taillot
                                                                                   

Elle avait raison ; ça aura fini par m'emmerder.


Écrit par Novembre, à 15:04 - Chroniques.
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Mercredi (23/02/05)
Neon

Je digère bien la neige en boules, je les ai et je les perds, ces batailles hivernales. Il fait un putain de temps romantique. S'il faut tomber, est-ce en flocons ?
Comme personne ne le peut, comme personne ne s'en soucie, je bourdonne, je projette un petit peu trop, j'en fais des tonnes, évidemment, pour le peu de ce qu'il ressort. Mais c'est que je dois aller mieux aussi. Les cieux sombres sont riches et plus beaux que les bleus qui m'ennuient. 

  
  Check your pulse
  Its proof that you’re not listening to
  The call your life’s been issuing you
  The rhythm of a line of idle days

  Scared of the world outside you should go explore
  Pull all the shades and wander the great indoors
 
  Lamplight makes the shadows play
  And posters take the walls away
  The tv is your window pane
  The view wont let you down

  So put your faith in a late night show
  I bet you didn’t even know
  Depends on how far out you go
  The channel numbers change

  Scared of the world outside you should go explore
  Pull all the shades and wander the great indoors

  Though lately I can’t blame you
  I have seen the world
  And sometimes wish your room had room for two

  So go unlock the door
  And find what you are here for
  Please leave the great indoors

  Check your pulse
  Its proof that you’re not listening to
  The call your life’s been issuing you
  The rhythm of a line of idle days

 

 

                                                                                           Fume-je un peu trop ?


Écrit par Novembre, à 21:54 - Chroniques.
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Mardi (22/02/05)
Ouvrir Paris

Si je ne me trompe pas, ça va bien et même plus vite que je ne le pense ; encore faudrait-il penser la ligne droite.


P.S.: Je ne hurle pas.


Écrit par Novembre, à 15:49 - Envolées.
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Dimanche (13/02/05)
Pour le peu

J'ai appris à enfermer, à retenir ou à contenir, je n'ai jamais su libérer ou restituer quoique ce soit dans la bonne forme, ou au bon moment, en tout cas jamais au bon endroit. Je suis beaucoup sorti mais je ne crois pas avoir fui, si ce n'est une fois.

Je voudrais bien que tout cela ne revienne pas. Si peut-être je m'ennuie, je ne veux pas gêner les autres. J'ai toujours appris à faire cela, ou tout du moins je m'entraîne encore. Tant pis, il me faudra encore du temps pour cesser de jouer, si jamais j'arrive à désapprendre tout ce que j'ai menti. Je suis sûrement fatigué.

S'il vous plaît, je regrette ?


Écrit par Novembre, à 00:50 - Chroniques.
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Jeudi (27/01/05)
pourquoi


Écrit par kim1, à 19:02 - Chroniques.
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Shoop delang a lang