J’ai le souffle court, j’ai les pieds plus larges que longs et mes cuisses fatiguent vite. Lorsque je me surprends à courir pour des raisons qui m’échappent encore, des histoires de transport en commun qui ne concernent que moi ou des fuites impromptues, je ne tiens jamais la distance. Lorsque je crois courir sans regarder le soleil parce qu’il me broie les yeux, c’est que je marche rapidement en dévisageant la route, le bitume, le pavé – mais je ne gueule que par détente. Je ne fais plus attention à ce que je ne fais pas par ennui mais aux petites choses qui me relaxent et si c’est les yeux ouverts, c’est qu’on ne voit plus la différence. J’ai la poitrine saillante mais le dos très fragile et je ne suis vraiment pas un homme à baiser. Certes on peut faire l’amour si tu fumes, pour te relaxer ensuite.
Pour se faire plaisir :
Passion