J'ai l'illusion de me tenir éveillé en siphonnant des litres de coca sans sucre ni caféine. L'irraisonnable a toujours moins tort que l'irraisonné. Et puis, quand je m'ennuie, j'ai reacccordé la guitare (notez le barbarisme) alors je cède au néo-romantisme de mes deux qui suinte le seize-ans-d'âge, comme dans les caves de chez Michael Jackson. Et puis, c'est cobainesque, c'est buckleyesque voire elliotsmythique. Je profite des revivals pour revivre un petit peu.
Je me suis sacrifié à l'artificiel, au rire sur commande, pré-roulé, en sachet ou emballé de cellophane. Il est de bon ton que tout nous dépasse, et que nous sommes cependant "au dessus de tout ça". Je ne toucherai pas le fond. Mais on se recherche un peu de naturel.
Il y a Peter Sellers dans le genre. Et les Monthy. Et Laure Adler, pour ceux qui ont envie (total respect). Quand je clowne, elle m'auguste alors j'apprends la passivité et je deviens spectateur. Samedi soir, j'étais un être de plaisir. Mais j'ai mes vagues poly-quotidiennes. Antidouleur. Même pas mal.
Je parle pas de Laure Adler. Je mettrai pas de lien. Mon absente. Mon absinthe (désolé).
Je ne souffre pas à cause du piano.
Je m'ordonne, voilà, en ce moment. Patience.
Allez, au revoir Françoise.
Prenez le P.C.
Pour se faire plaisir :
Feu
Les mots. L'expression et puis c'est tout.
Voilà.
Il me semble tenter de dire plus pourquoi ce que tu écris me plaît, reviendrait à faire de la paraphrase.
Tchaô!
Feu