Hôtes, hôte que je suis, lectrice, lecteur, Cécile ma fille, ma chienne Myrtille et ta soeur en string à Walibi, j'embrasse le Saint-Esprit, mon père, mon amour.
FILLE, mon héros, ma bravoure, dans les couloirs Waterloo de ton lycée qui va crack-er, jeune fille allumeuse de mes cigarillos truqués, aussi prude que mon père en jarretelles, à me tourner autour sur l'orbite de ma poitrine suintante et tes atouts molletonnés, ne comprends-tu donc pas ?
Ainsi me promenai-je à Paris ce tantôt, les amis à ma queue leu leu, culs à culs d'ours comiques sur riffs d'attaque, sous les lumières des tavernes grecques, jusqu'aux bars parisiens, et pis dantesquement émechés, lorsque je fis fi (et Loulou) de toute honte à m'enfiler, bière sur bière, les souvenirs de célébration, dans les embruns éthylo-réveillonnesques des anniversaires, parce qu'il y avait du monde, parce que j'étais désinhibé, l'imbibation en sus. So me souvins-je.
Fille, ne comprends-tu donc pas ce dont je te parlerai ce soir. Non, dit-elle, avec cet air suranné de pucelle enfumée, dépassée, désespérement sexy d'innocence. Des souvenirs, du passé. Est-ce que tu vis par le passé ?
Il y eut quelques volutes. Des anges qui se tirent quand ça commence à faire peur, le silence. Tout se perd, tout est temporaire, rien n'est jamais acquis, et la mémoire te montre le bras de son honneur, certaines choses sont beaucoup trop à soi.
Que dis-je, évidemment, comment vivre au jour le jour, et l'ennui les nuits : saisis les carpes, dis "aime", "amen", joins-toi aux autres pour gueuler, parce que trop seul, tu n'épanouis que ton regret. Ma fille fume, ce samedi et tous les autres jours, sous la musique ou le reste, seule ou quand elle se joint, histoire de passer l'hiver sans histoires.
Parfois, je vois en double, et je pense le fumeux avec mon teint de cendrier. C'est qu'on est pas cireux quand on a dix-sept ans. Puisqu'après je me marre, ou me branle à l'excès, ou j'écris des vulgarités , c'est que ça m'amuse. Alors je m'aime peut-être un peu, quand je me fais un trop plaisir. Et je prends tous mes rêves. Parce que je me désespère à force d'illusions. Parce que je me répète que c'est beaucoup trop court. Pour une mort en envol, tout en respirant, sans ne jamais savoir. Lorsqu'on ressemble à des comédiens du piètre. Il n'y a plus d'héroïnes pour tous nos crépuscules. Pour un jour, si tu veux. Aujourd'hui, ou jamais. Lorsqu'on veut s'échapper, pour les jours du presque rien, de nos étoiles qui feront tout. Je te regarderai dans le ciel, y refléter tes yeux, pour y prendre mon envol. Parfois, je rêve en double, parce que parfois je suis au-dessus.
Je respire, jusqu'ici.
Et je n'ai jamais été malade
Si ce n'est une fois de toi
Quand tu crachais ton amour
Pour se faire plaisir :
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En fait, je ne crois pas écrire en écriture automatique, quoique je ne me relis pas.
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L'e.c. (petite abréviation pour faire snob) c'est ne savoir vraiment pas où l'on va. Casacade de mots.
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Yeah Baby si je me lâchais, mais je suis déjà sous ignition.
Il est mort, mon oeil.
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Ah bon ?
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Tu n'as pas dit plus haut que tu ne te relisais pas? Si tu appelles ça travailler tes textes, où va l'écriture.
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Tu es la seconde.
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Le style est largement apprécié.
Sauf qu'il faut arrêter.
J'aime pas rire devant l'écran.
Ca me donne un quelque chose de vraiment pitoyable...
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"lorsque je fis fi (et Loulou)" egalement.
On ne se refait pas...
A part ça, le message du texte a un tout autre registre
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Ah oui en effet c'est très drôle huhuhu
Hey mais c'est quoi alors le registre du message du texte -ça commence à durer ?
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Je vais sûrement dire une connerie.
Moi j'y vois de la lassitude.
A côté de la palque, désolé
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c'est moi qui te lasse, las ou tu t'y lasses seule ici ?
La plaque c'est la troisième à gauche.
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Y faut être doué en littérature, sensible aux mots, surréaliste, raffiné, symboliste, structuraliste, agrégé de Lettres Modernes, poète, blablabla, ou bien juste aussi timbré que toi pour comprendre ce que tu écris ?
La réponse m'intéresse en tout cas.
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Essaie de faire passer le pragmatique avant le sémantique, tu "comprendras" déjà beaucoup plus. "eeh ça veut dire quoii eehgn gnaa".
N'en jette donc plus.
Vous pouvez répéter la question ?
Ben je comprends pas ta réponse non plus alors.
Vous pouvez répé..gnéhegh ?
J'crois que j'abandonne. Si j'aurais su, j'aurais pas venu, et je m'en va à ma dissert d'histoire.
Re: Re:
Mwahahaha =)
Twan t'es bonne.
Et les commentaires aussi ^^
Pour certains jeux de mots, faudrait les soumettre à Mc Solaar s'il compte se reconvertir dans le comique de l'absurde, y a un p'tit air de loin :p
En regardant de loin on dirait une main fermée le contour de ta tête sur le côté =>
Avec un bout de doigt replié...mais peut-être ai-je trop d'imagination.
Merci de continuer à raconter tes nawaks, ca fait passer le temps, c'est foune.
(Et la guerre est foune de derriere...c'est quand que j'passe au statut supérieur ? )
Re:
Cela me confirme donc pourquoi je suis totalement hermétique aux textes de ce blog.
Enfin, ça m'occupe, donc bon..
Je t'embrasse !
doki2
=o Fleur des yeux
bon puisque je ne ^suit pas crédible ( a cause des chaussettes) en personnage cruelle . je n'essayreais pas.
"Il n'y a plus d'héroïnes pour tous nos crépuscules. " ( =o c'est survolé de phrase dans le genre donc gt *_* en lisant . en même temps on me dira . je suis souvent *_* . allez heu puis que quand je dis que " c'est beau " des fois . je dirais encore des choses encire plus emmelés que la plupart du temps....ho et puis non . )
"dans la nase a pois( s )son il y avait eu de pois(s )son
mais toujours un nitron .
Dans les eaux du canal, le crachat poumonal
c'est l'appat au scandale"